A sa résistance, pourtant, On donne encore une autre cause, Le dirai-je ! la pauvre enfant ! L'après-diner, tout en causant, Elle avait pris, imprudemment, De thé verd une forte dose, Et, digéré trop promptement, Le thé visait au dénoûment. Telle une barque abandonnée Et jouet de deux élémens, Tout à la fois est tourmentée Et par les eaux et par les vents. D'abord la nymphe désolée Tient bon, s'obstine, mais enfin Hors du lit elle étend sa main Sa main incertaine et troublée; Soulève doucement les draps, Sur ses genoux se tient à peine, Et prend la frêle porcelaine Qui doit soulager ses appas. Le mari, qui point ne sommeille, Surpris de ce bruit argentin, Croit faire un rêve, de la main Se tâte, doute encor s'il veille Et s'écrie: ah! quelle merveille! Est-il bien vrai? qu'est-ce ceci? Quoi, ma Rosette fait pipi! As sovereign medicines for the loins; But soon, with like occasions prest, The little Cupids hovering round, As pictures prove, with garlands crown'd, Fair decency, celestial maid! Descend from heaven to beauty's aid! J'épargne aux lectrices françaises Swift seul, plus hardi, moins galant, Dès ce moment plus de mystère, Plus de gêne, plus de secret; Ce que l'un dit, où ce qu'il fait, L'autre l'entend ou le voit faire. Dès ce moment plus de plaisir; Chacun sent et maudit sa chaîne; La froideur succède au désir, Et l'amour fait place à la haine. Un Cette leçon s'adresse à vous: peu Though beauty may beget desire, Opinion falls and beauty dies. SWIFT ON HIMSELF SOMETIME BEFORE HIS DEATH. DEAF, Giddy, helpless, left alone, Fixe l'amour dans le ménage; Trop d'abandon change en dégoûts Jeunes femmes, c'est l'innocence: Le feu qu'allume la beauté S'éteint bientôt sans la décence. SWIFT SUR LUI-MÊME QUELQUE TEMS AVANT SA MORT, SOURD, presque fou, triste doyen, |